Guadeloupe/Gwadloup
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE  SAINTE-ROSE

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE SAINTE-ROSE

La commune a d’abord porté le nom de Grand Cul de Sac Marin, puis de Saint-Pierre. En 1795, Victor Hugues, un révolutionnaire, la baptise « Tricolore ». Enfin, elle devient Sainte-Rose en hommage à Sainte-Rose-de-Lima. La commune est colonisée en 1635 lorsque les français arrivent à la Pointe Allègre avec quatre religieux de l’ordre de Saint-Dominique et 400 colons engagés à rester sur les lieux pendant trois ans. La première église fut bâtie au Comté de Lohéac et son patron était Saint-Pierre.

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE /POINTE-A-PITRE

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE /POINTE-A-PITRE

Autrefois inondée et peuplée seulement de palétuviers, Pointe-à-Pitre doit son existence à la culture de la canne à sucre commencée tôt en Grande-Terre, et à la présence du Marquisat de Houëlbourg situé sur l’actuelle Baie-Mahault.
Les navires mouillent alors dans le Petit Cul de Sac Marin, et pour protéger cette activité, l’on édifie le Fort-Louis autour duquel se développera ensuite Pointe-à-Pitre.
En 1759, les Anglais travaillent à la construction de la ville, assainissent ses marais et en dessinent le plan. On y voit encore quelques-unes de leurs réalisations.
En 1763, suite au traité de Paris qui rend la Guadeloupe à la France, on poursuit les travaux et la ville s’organise autour de l’actuelle Place de la Victoire. Celle-ci doit son nom à Victor Hugues, figure de la révolution française, qui refoule les Anglais à cette époque. Il y plantera des sabliers, grands arbres dont les derniers seront abattus par le cyclone Hugo en 1989.
La ville se développe vraiment à l’abolition de l’esclavage, avec l’installation de l’usine Darboussier qui sera le théâtre de luttes sanglantes jusqu’au début du 20ème siècle.
Les cyclones, incendies et séismes détruiront tout à tour Pointe-à-Pitre.
La dernière catastrophe en date est le cyclone de 1928. L’architecte Ali Tur fut chargé de reconstruire la ville, changeant son aspect général.
Les premières tours sont édifiées au début des années 1960. On procède alors à l’assainissement des faubourgs.
En 1971, l’aéroport du Raizet à Pointe-à-Pitre est inauguré.

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE   POINTE-A-PITRE

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE POINTE-A-PITRE

Autrefois inondée et peuplée seulement de palétuviers, Pointe-à-Pitre doit son existence à la culture de la canne à sucre commencée tôt en Grande-Terre, et à la présence du Marquisat de Houëlbourg situé sur l’actuelle Baie-Mahault.
Les navires mouillent alors dans le Petit Cul de Sac Marin, et pour protéger cette activité, l’on édifie le Fort-Louis autour duquel se développera ensuite Pointe-à-Pitre.
En 1759, les Anglais travaillent à la construction de la ville, assainissent ses marais et en dessinent le plan. On y voit encore quelques-unes de leurs réalisations.
En 1763, suite au traité de Paris qui rend la Guadeloupe à la France, on poursuit les travaux et la ville s’organise autour de l’actuelle Place de la Victoire. Celle-ci doit son nom à Victor Hugues, figure de la révolution française, qui refoule les Anglais à cette époque. Il y plantera des sabliers, grands arbres dont les derniers seront abattus par le cyclone Hugo en 1989.
La ville se développe vraiment à l’abolition de l’esclavage, avec l’installation de l’usine Darboussier qui sera le théâtre de luttes sanglantes jusqu’au début du 20ème siècle.
Les cyclones, incendies et séismes détruiront tout à tour Pointe-à-Pitre.
La dernière catastrophe en date est le cyclone de 1928. L’architecte Ali Tur fut chargé de reconstruire la ville, changeant son aspect général.
Les premières tours sont édifiées au début des années 1960. On procède alors à l’assainissement des faubourgs.
En 1971, l’aéroport du Raizet à Pointe-à-Pitre est inauguré.

Robert LIENSOL

Robert LIENSOL

Robert Liensol était un monument de la comédie française. Ce natif de Saint-Barth a été le co-fondateur de la première compagnie de théâtre composée d’acteurs noirs, les Griots, avec Darling Légitimus et Georges Hilarion.

JACOB DESVARIEUX

JACOB DESVARIEUX

Jacob Desvarieux était un pilier incontournable de la musique afro-caraïbéenne.
Cofondateur du groupe Kassav, c’était un guitariste hors pair venu d’une autre dimension. Son talent de musicien était de renommée mondiale. Miles Davis en personne a reconnu son immense talent.
Avant-gardiste dans son style musical mi jazz, mi rock avec des teintes caraïbéennes, il a su donner au zouk ses lettres de noblesse à travers le monde entier. Grace à Jacob, l’Afrique est devenu une passerelle avec les Antilles, avec un seul dénominateur commun, le zouk !!
Rappelez-vous les stades remplis ou le Grand Méchant Zouk !!
Musicien, compositeur, producteur, Il a joué aux côtés des plus grands artistes. Toujours à l’affut de nouveautés, ses collaborations artistiques sont aussi diversifiées et nombreuses.
Jacob a même embrassé durant quelque temps une carrière de comédien.
Insatiable, Il avait encore de nombreux projets en cours d’élaboration, mais le COVID 19, ne lui en a pas laissé le temps. Sa perte est immense.

Max Mathias MATHURIN

Max Mathias MATHURIN

Mathias Mathurin fut un maire qui a beaucoup œuvré pour les habitants de la Désirade. Il a permis notamment l’acheminement de l’eau potable et de l’electricité sur l’ile. Cependant il connu une fin tragique dans la nuit du 22 octobre 1991. Il demeure dans la mémoire de tous les désiradiens.

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