Patrimoine
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE /POINTE-A-PITRE

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE /POINTE-A-PITRE

Autrefois inondée et peuplée seulement de palétuviers, Pointe-à-Pitre doit son existence à la culture de la canne à sucre commencée tôt en Grande-Terre, et à la présence du Marquisat de Houëlbourg situé sur l’actuelle Baie-Mahault.
Les navires mouillent alors dans le Petit Cul de Sac Marin, et pour protéger cette activité, l’on édifie le Fort-Louis autour duquel se développera ensuite Pointe-à-Pitre.
En 1759, les Anglais travaillent à la construction de la ville, assainissent ses marais et en dessinent le plan. On y voit encore quelques-unes de leurs réalisations.
En 1763, suite au traité de Paris qui rend la Guadeloupe à la France, on poursuit les travaux et la ville s’organise autour de l’actuelle Place de la Victoire. Celle-ci doit son nom à Victor Hugues, figure de la révolution française, qui refoule les Anglais à cette époque. Il y plantera des sabliers, grands arbres dont les derniers seront abattus par le cyclone Hugo en 1989.
La ville se développe vraiment à l’abolition de l’esclavage, avec l’installation de l’usine Darboussier qui sera le théâtre de luttes sanglantes jusqu’au début du 20ème siècle.
Les cyclones, incendies et séismes détruiront tout à tour Pointe-à-Pitre.
La dernière catastrophe en date est le cyclone de 1928. L’architecte Ali Tur fut chargé de reconstruire la ville, changeant son aspect général.
Les premières tours sont édifiées au début des années 1960. On procède alors à l’assainissement des faubourgs.
En 1971, l’aéroport du Raizet à Pointe-à-Pitre est inauguré.

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE    LE LORRAIN

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE LE LORRAIN

Autrefois le Lorrain s’appelait « Grand’ Anse » du nom d’une rivière de la commune. Elle a été rebaptisée « Lorrain » en 1874.
Les Arawaks sont les premiers habitants de la commune. On trouve des traces de leur de peuplement datant du 1er siècle, découverts notamment sur les sites archéologiques de Vivé près de la Rivière Capot et de Fonds Brûlé.

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE   LE VAUCLIN

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE LE VAUCLIN

Le nom de la commune proviendrait du nom du seigneur de Vauquelin, qui y possédait des plantations.
En 1720, le comte de Vauquelin s’établit au Sud-Est de l’île sur une grande propriété où il cultivait d’abord du tabac puis de la canne à sucre. Petit à petit, une agglomération se forma autour de cette propriété. Sa population augmente. Elle prit le nom de Vauclin.

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE   POINTE-A-PITRE

1 COMMUNE, 1 HISTOIRE POINTE-A-PITRE

Autrefois inondée et peuplée seulement de palétuviers, Pointe-à-Pitre doit son existence à la culture de la canne à sucre commencée tôt en Grande-Terre, et à la présence du Marquisat de Houëlbourg situé sur l’actuelle Baie-Mahault.
Les navires mouillent alors dans le Petit Cul de Sac Marin, et pour protéger cette activité, l’on édifie le Fort-Louis autour duquel se développera ensuite Pointe-à-Pitre.
En 1759, les Anglais travaillent à la construction de la ville, assainissent ses marais et en dessinent le plan. On y voit encore quelques-unes de leurs réalisations.
En 1763, suite au traité de Paris qui rend la Guadeloupe à la France, on poursuit les travaux et la ville s’organise autour de l’actuelle Place de la Victoire. Celle-ci doit son nom à Victor Hugues, figure de la révolution française, qui refoule les Anglais à cette époque. Il y plantera des sabliers, grands arbres dont les derniers seront abattus par le cyclone Hugo en 1989.
La ville se développe vraiment à l’abolition de l’esclavage, avec l’installation de l’usine Darboussier qui sera le théâtre de luttes sanglantes jusqu’au début du 20ème siècle.
Les cyclones, incendies et séismes détruiront tout à tour Pointe-à-Pitre.
La dernière catastrophe en date est le cyclone de 1928. L’architecte Ali Tur fut chargé de reconstruire la ville, changeant son aspect général.
Les premières tours sont édifiées au début des années 1960. On procède alors à l’assainissement des faubourgs.
En 1971, l’aéroport du Raizet à Pointe-à-Pitre est inauguré.

Suzanne AMOMBA PAYET

Suzanne AMOMBA PAYET

Figure locale de la Guyane, Suzanne AMOMBA esclave née en Afrique est devenue une riche propriétaire en épousant le soldat Jean Payet. Veuve et analphabète, elle suscita bien des convoitises, aussi bien de la part d’opportunistes mais aussi de la part de l’Administration Coloniale.

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