La commune de Macouba doit son nom à un poisson d’eau douce dont la chair était estimée. Le Macouba également appelé « têtard » aurait été un des plat favoris du Père Labat qui était curé de la paroisse vers 1696.
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE / BASSE-POINTE
Basse-Pointe doit son nom à la situation géographique de son bourg. qui est surplombé d’une pointe rocheuse peu élevée.
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE / GRAND RIVIERE
Grand-Rivière, est l’une des plus petites communes du nord de la Martinique. Pendant longtemps l'activité principale...
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE / SAINT-ESPRIT
Saint-Esprit est une commune au cœur du sud de la Martinique. Elle est située au sud-ouest du François, à l'est...
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE / LE MORNE-VERT
Le Morne-Vert est une commune dépendance du Carbet.
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE / LE LAMENTIN
Le Lamentin est une commune du cœur de la Martinique. Elle est située entre le Robert et le François à l'est, Ducos au...
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE / LE VERT-PRE
Située entre la commune du Robert et celle du Gros-Morne, le Vert-Pré tient son nom du capitaine Vert-Pré.
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE LE MARIN
La commune du Marin est l’un des plus ancien site habité de la Martinique.
En 1664, lors du premier dénombrement de l’île ordonné par Colbert, elle figurait sous le nom de « Cul-de-sac de Saint-Etienne du Marin » avec 199 habitants. En 1673, les anglais brûlèrent la chapelle et le bourg, ravageant les plantations et les troupeaux.
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE LES TROIS ILETS
.Pourquoi les Trois-Ilets ?
En 1724, Mr de Montigny donne un terrain situé sur un plateau dominant la baie de Fort-Royal, face aux ilets sur lequel sont établis une église, un cimetière et le presbytère.
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE SAINTE-ROSE
La commune a d’abord porté le nom de Grand Cul de Sac Marin, puis de Saint-Pierre. En 1795, Victor Hugues, un révolutionnaire, la baptise « Tricolore ». Enfin, elle devient Sainte-Rose en hommage à Sainte-Rose-de-Lima. La commune est colonisée en 1635 lorsque les français arrivent à la Pointe Allègre avec quatre religieux de l’ordre de Saint-Dominique et 400 colons engagés à rester sur les lieux pendant trois ans. La première église fut bâtie au Comté de Lohéac et son patron était Saint-Pierre.
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE BOUILLANTE
La commune de BOUILLANTE doit son nom aux centaines de sources chaudes qui jaillissent ici et là dans la nature. Elle...
1 COMMUNE, 1 HISTOIRE /POINTE-A-PITRE
Autrefois inondée et peuplée seulement de palétuviers, Pointe-à-Pitre doit son existence à la culture de la canne à sucre commencée tôt en Grande-Terre, et à la présence du Marquisat de Houëlbourg situé sur l’actuelle Baie-Mahault.
Les navires mouillent alors dans le Petit Cul de Sac Marin, et pour protéger cette activité, l’on édifie le Fort-Louis autour duquel se développera ensuite Pointe-à-Pitre.
En 1759, les Anglais travaillent à la construction de la ville, assainissent ses marais et en dessinent le plan. On y voit encore quelques-unes de leurs réalisations.
En 1763, suite au traité de Paris qui rend la Guadeloupe à la France, on poursuit les travaux et la ville s’organise autour de l’actuelle Place de la Victoire. Celle-ci doit son nom à Victor Hugues, figure de la révolution française, qui refoule les Anglais à cette époque. Il y plantera des sabliers, grands arbres dont les derniers seront abattus par le cyclone Hugo en 1989.
La ville se développe vraiment à l’abolition de l’esclavage, avec l’installation de l’usine Darboussier qui sera le théâtre de luttes sanglantes jusqu’au début du 20ème siècle.
Les cyclones, incendies et séismes détruiront tout à tour Pointe-à-Pitre.
La dernière catastrophe en date est le cyclone de 1928. L’architecte Ali Tur fut chargé de reconstruire la ville, changeant son aspect général.
Les premières tours sont édifiées au début des années 1960. On procède alors à l’assainissement des faubourgs.
En 1971, l’aéroport du Raizet à Pointe-à-Pitre est inauguré.